Lettre à un gros CON qui l'a toujours été et qui le sera toujours.
Les hommes ne changent pas, je me souviens lorsque tu étais gamin, comment tu te comportais : irrespectueux, moqueur toujours à se foutre de la gueule des gens et jamais on ne savait pas s'il fallait te prendre au sérieux ou pas, bref tu avais le degré d’intelligence d'un gamin attardé, je n'ose pas dire trisomique par respect pour les personnes atteintes de cette maladie, eux ne l'ont pas choisi mais toi tu as choisi d'être un imbécile toute ta vie.
On s'était perdu de vu une bonne vingtaine d'années, et c'était tant mieux, et puis un jour tu es réapparu demandant de reprendre contact avec moi sur Viber puis sur Facebook.
Mes nombreuses enseignements dans la vie m'ont appris certaines leçons et je savais que je pouvais me fier à toi : tu te persuadais que tu étais mon ami, nous ne l'avons jamais été, nos familles ont été proches, nous avions été voisins, mais tu n'as jamais été dans mon cercle d'amis proches. Sur FACEBOOK, je t'ai laissé croire à cette illusion.
Comme je le disais, on ne savait jamais à quel moment on pouvait te prendre au sérieux, dans nos échanges "amicaux", tu m'avais souvent provoqué et insulté, traité de petit con, où tu te permettais de me juger, de juger ma vie... ce n'était pas de la rigolade, oh tu as joué sur ce ton mais mes réponses n'ont jamais été énervées, j'ai pris tes propos pour ce qu'ils valaient, c'est à dire rien, et à chaque fois, je te répondais de la meilleure manière que possible, te renvoyant le miroir de ta propre connerie.
Encore une fois devant une personne comme toi où il est difficile de voir la vérité ou le mensonge, tu as publié sur Facebook, ou recopier les mots d'une autre personne et utiliser son drame, sa tragédie face à la mort, pour faire quoi ? pour t'attirer les faveurs, la compassion de tes amis ?
Désolé mais je ne suis pas tombé à ton jeu. Il serait bien que tu sois sincère avec toi même et envers les autres mais non : voila que tu me traites encore une fois de plus (et la dernière) de con en me diffamant auprès de tes contacts/amis. Tu as essayé de jouer avec moi hier soir, avec la mort de mon père, mais à ce jeu psychologique, je te préviens tu seras perdant, tout comme tu seras perdant si tu oses me diffamer auprès de tes amis.
Une dernière chose : les qualités d'un homme ne se mesurent pas au nombre de ses "amis", ni à son travail, ni à la taille de son portefeuille ou à l'alliance qu'il porte dans sa main.
Toi tu es resté à ce stade et quoique tu essaieras de nous démonter, tu resteras toujours le pauvre petit con de gosse de riche que tu as été. (et cela vaut à quelques personnes de ton entourage également).
Sur ce, bonne continuation.
PS : au fait en plus de trente ans, tu n'as jamais su correctement écrire mon prénom, alors tu parles si tu m'as jamais réellement connu un jour.
